Chapitre III - Rattrapé par le passé
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Re: Chapitre III - Rattrapé par le passé
Morgoth Jeu 17 Juin - 16:14
*Encore cet endroit…*
Depuis combien de temps venait t’il ici chaque fois que cela ce reproduisait ? Il avait perdu le compte, mais sans doute une bonne dizaine de jour. Il était seul, seul au milieu d’un désert sans aucune trace d’occupation humaine. Il était seul au moment de la nuit montante, avec ses ombres qui s’allongent. Il était seul, avec le sable et le roc comme seul compagnons. Il était seul dans cet endroit, totalement seul et abandonner de tous.
La nuit était fraîche, le souffle régulier du vent venant balayer le désert puis ensuite lui fouetter le visage. Ici il n’y avait pas la guerre, celle-ci étant à peine une rumeur lointaine sans grand intérêt. Ses yeux ce posèrent sur la Lune, celle que les lunaires nommaient "sélène", la déesse de la paix. La paix…voila sans doute le nom qui caractérisait le mieux cet endroit, une paix absolu et éternel, une paix possible seulement si il était seul, possible si aucun être humain ne survivait. Oui, beaucoup de sang devrait couler mais c’est à ce seul prix que l’on obtiendrait la paix et la victoire.
Comme pour exaucer son souhait la Lune changea de couleur, devenant rouge à mesure qu’elle ce gorgeait du sang humain. Il tomba à genoux, sous le poids de la culpabilité. Qu’avait t’il donc fait ?!
Mais c’était trop tard maintenant : une pluie de sang, tel des larmes tombèrent autour de lui, rendant le sable aussi rouge que le satellite, les deux endroits de paix étant désormais rougis par le sang des humains.
Du sable émergèrent des formes, au début flous puis de plus en plus net. Des étendarts par centaines s’élevaient très haut, flottants au milieu d’une armée composer d’être aux visages déformer par la douleur et la folie.
Il essaye de s’enfuir, mais il était cloué sur place, incapable de bouger, incapable de ce défendre, juste bon à mourir.
Son corps lui faisait atrocement mal : il s’écroula. Son propre sang coulait sur sa peau, sortant par d’innombrables plaies. Il était agité de tremblement incontrôlable, alors que son sang et sa propre chair devenaient brûlants. A dessous de lui une flaque de sang claire comme de l’eau lui montrait son propre visage : des yeux rouges sang même dans le blanc. Il était devenu un monstre.
« NOOONNNNNNN »
« Mais ferme là ! Tu veux vraiment nous faire repérer ? »
Morgoth ouvrit les yeux, la pâle lumière que la lune pénétrant dans ses pupilles rouges. Il ce releva, totalement affoler. La lune, elle était…normale ? Le sol avait lui aussi retrouver sa couleurs normale : une herbe verte. L’homme à côté de lui c’était…juste Diante, son binôme. Son regard tourna frénétiquement de gauche à droite : des sacs de sables sur lesquelles il était posé, les 2 M249 n’attendant que d’ouvrir le feu, les tentes des KRAZ à quelques centaines de mètres, Diante tenant une liasse de billets entre les mains.
Il frissonna, la sueur dégoulinant de son front. Un rêve, ce n’était qu’un rêve…toujours le même rêve. Cela faisait 13 jours qu’il faisait le même chaque fois qu’il s’endormais. Il avait eu recourt aux pilules anti-fatigue pour échapper au sommeil et à ce rêve, mais même ces drogues ne suffisaient plus à le maintenir. Son corps tenait mais son esprit était embrumé, confus.
Diante : « Toujours le même cauchemar hein ? Je t’avais pourtant dit de pas t’endormir ! Qui va surveiller le camp si tu dors ? »
Morgoth : « Peut-être toi non ? A moins que tu sois trop occuper à compter ta dernière solde… »
Bien qu’il tentait de le cacher il devait admettre que Diante avait raison. S’endormir alors qu’on est de garde est une faute inexcusable, quelque soit les circonstances. Si il avait surpris un garde entrain de dormir il lui aurait volontiers collé trois semaines de première ligne, alors que lui-même ce devait de montrer l’exemple aux troupes impériales.
Diante : « Il serait peut-être temps que tu face quelque chose. On combat mal les yeux fermer tu sais. »
Morgoth (grommelant) : « Pas possible… »
Diante : « Moi je dit ça je dit rien mais comme disais mon père…ou ma mère, j’avais réussit à faire la différence entre les deux, "quand t’as un problème cherche la solution" »
Encore une phrase haute intellectuelle du bourrin du groupe. Il n’avait pas besoin d’aide, il savait précisément qui lui envoyait ce rêve, et à cause de qui il ne voulait trouver le sommeil depuis prêt de deux semaines. Mais malheureusement il n’avait pas encore la solutions pour ce sortir de ce problème, et d’ailleurs personne ne possédait la solution. Hormis peut-être…
Morgoth avait déjà eu cette idée avant, seulement le risque était énorme : si quelqu’un ce doutait de quelque chose alors il serait sans aucun douter tuer.
Son regard ce tourna vers la Lune, comme dans son rêve. Il n’avait jamais vénéré Sélène mais admirait le principe, car au fond il luttait pour la même chose. Non, quoi qu’il arrive il devait tout tenter, même si il risquait d’y passer.
Morgoth sortis son Com-link de sa ceinture, composant un message sur un canal pour s’adresser à l’Empereur. Dans tout l’Empire seul le GI et l’Empereur lui-même pouvaient lui donner accès à ce qu’il cherchait : le Lirarium Héréticus : les Archives Interdites de la FOI.
Depuis combien de temps venait t’il ici chaque fois que cela ce reproduisait ? Il avait perdu le compte, mais sans doute une bonne dizaine de jour. Il était seul, seul au milieu d’un désert sans aucune trace d’occupation humaine. Il était seul au moment de la nuit montante, avec ses ombres qui s’allongent. Il était seul, avec le sable et le roc comme seul compagnons. Il était seul dans cet endroit, totalement seul et abandonner de tous.
La nuit était fraîche, le souffle régulier du vent venant balayer le désert puis ensuite lui fouetter le visage. Ici il n’y avait pas la guerre, celle-ci étant à peine une rumeur lointaine sans grand intérêt. Ses yeux ce posèrent sur la Lune, celle que les lunaires nommaient "sélène", la déesse de la paix. La paix…voila sans doute le nom qui caractérisait le mieux cet endroit, une paix absolu et éternel, une paix possible seulement si il était seul, possible si aucun être humain ne survivait. Oui, beaucoup de sang devrait couler mais c’est à ce seul prix que l’on obtiendrait la paix et la victoire.
Comme pour exaucer son souhait la Lune changea de couleur, devenant rouge à mesure qu’elle ce gorgeait du sang humain. Il tomba à genoux, sous le poids de la culpabilité. Qu’avait t’il donc fait ?!
Mais c’était trop tard maintenant : une pluie de sang, tel des larmes tombèrent autour de lui, rendant le sable aussi rouge que le satellite, les deux endroits de paix étant désormais rougis par le sang des humains.
Du sable émergèrent des formes, au début flous puis de plus en plus net. Des étendarts par centaines s’élevaient très haut, flottants au milieu d’une armée composer d’être aux visages déformer par la douleur et la folie.
Il essaye de s’enfuir, mais il était cloué sur place, incapable de bouger, incapable de ce défendre, juste bon à mourir.
Son corps lui faisait atrocement mal : il s’écroula. Son propre sang coulait sur sa peau, sortant par d’innombrables plaies. Il était agité de tremblement incontrôlable, alors que son sang et sa propre chair devenaient brûlants. A dessous de lui une flaque de sang claire comme de l’eau lui montrait son propre visage : des yeux rouges sang même dans le blanc. Il était devenu un monstre.
« NOOONNNNNNN »
« Mais ferme là ! Tu veux vraiment nous faire repérer ? »
Morgoth ouvrit les yeux, la pâle lumière que la lune pénétrant dans ses pupilles rouges. Il ce releva, totalement affoler. La lune, elle était…normale ? Le sol avait lui aussi retrouver sa couleurs normale : une herbe verte. L’homme à côté de lui c’était…juste Diante, son binôme. Son regard tourna frénétiquement de gauche à droite : des sacs de sables sur lesquelles il était posé, les 2 M249 n’attendant que d’ouvrir le feu, les tentes des KRAZ à quelques centaines de mètres, Diante tenant une liasse de billets entre les mains.
Il frissonna, la sueur dégoulinant de son front. Un rêve, ce n’était qu’un rêve…toujours le même rêve. Cela faisait 13 jours qu’il faisait le même chaque fois qu’il s’endormais. Il avait eu recourt aux pilules anti-fatigue pour échapper au sommeil et à ce rêve, mais même ces drogues ne suffisaient plus à le maintenir. Son corps tenait mais son esprit était embrumé, confus.
Diante : « Toujours le même cauchemar hein ? Je t’avais pourtant dit de pas t’endormir ! Qui va surveiller le camp si tu dors ? »
Morgoth : « Peut-être toi non ? A moins que tu sois trop occuper à compter ta dernière solde… »
Bien qu’il tentait de le cacher il devait admettre que Diante avait raison. S’endormir alors qu’on est de garde est une faute inexcusable, quelque soit les circonstances. Si il avait surpris un garde entrain de dormir il lui aurait volontiers collé trois semaines de première ligne, alors que lui-même ce devait de montrer l’exemple aux troupes impériales.
Diante : « Il serait peut-être temps que tu face quelque chose. On combat mal les yeux fermer tu sais. »
Morgoth (grommelant) : « Pas possible… »
Diante : « Moi je dit ça je dit rien mais comme disais mon père…ou ma mère, j’avais réussit à faire la différence entre les deux, "quand t’as un problème cherche la solution" »
Encore une phrase haute intellectuelle du bourrin du groupe. Il n’avait pas besoin d’aide, il savait précisément qui lui envoyait ce rêve, et à cause de qui il ne voulait trouver le sommeil depuis prêt de deux semaines. Mais malheureusement il n’avait pas encore la solutions pour ce sortir de ce problème, et d’ailleurs personne ne possédait la solution. Hormis peut-être…
Morgoth avait déjà eu cette idée avant, seulement le risque était énorme : si quelqu’un ce doutait de quelque chose alors il serait sans aucun douter tuer.
Son regard ce tourna vers la Lune, comme dans son rêve. Il n’avait jamais vénéré Sélène mais admirait le principe, car au fond il luttait pour la même chose. Non, quoi qu’il arrive il devait tout tenter, même si il risquait d’y passer.
Morgoth sortis son Com-link de sa ceinture, composant un message sur un canal pour s’adresser à l’Empereur. Dans tout l’Empire seul le GI et l’Empereur lui-même pouvaient lui donner accès à ce qu’il cherchait : le Lirarium Héréticus : les Archives Interdites de la FOI.
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Re: Chapitre III - Rattrapé par le passé
Morgoth Jeu 17 Juin - 16:14
Un long couloir fait de pierres millénaires et de roches que l’on avait creusé, des torches déformant les ombres comme pour rendre l’atmosphère encore plus lourde, et un homme…vêtu de noir, tête baisser, qui avançait sans le moindre mots : tel était ce que pouvait voir Morgoth. Quelques jours plus tôt il avait été porter sa requête devant l’Empereur lui-même. Front sur le sol il avait reçu l’autorisation du divin monarque, la seule qui avec le Grand Inquisiteur pouvait lui donner accès à ce lieu. Il avait alors pris 3 jours de repos avant de s’envoler vers le lieu qu’on lui avait indiquer. Une fois sur place on lui avait enlever ses armes, puis un homme lui avait fait signe de le suivre, avant de s’engager dans un véritable dédalle. Le général ce demandait si l’homme connaissait bien le chemin, malgré le fait qu’il s’engage dans chaque voie sans la moindre hésitation. Ce n’était pas dans ses habitudes et pourtant il ce sentait tendu et mal à l’aise, ce demandant à chaque pas quelle folie l’avait conduit ici, l’endroit même où peut de personnes souhaiteraient de trouver a cause des fanatiques qui l’habitait.
Morgoth (tentant de rompre le silence) : « C’est encore loin ? »
Homme : « Moins loin que la victoire, et plus loin que le pêcher »
Morgoth : « Heu…oui. Bien sur »
Pas moyen d’obtenir une réponse claire avec ce genre de fanatique. Tout au long de sa carrière il avait croisé de nombreux fanatiques appartenant ou non à la FOI mais aucuns ne semblaient être aussi atteins que ceux-là.
Homme : « L’Empereur vous fait grand honneur. Nul militaire posé le pied ici auparavant »
La phrase le surprit. Non seulement il découvrait que cet homme pouvait prendre l’initiative de la parole mais en plus il réalisa pour la première fois à quel point ce qu’il avait demandé était immense. Maintenant il fallait trouver une réponse en harmonie avec la façon de penser des fanatiques.
Morgoth : « L’Empereur me fait en vérité un immense honneur. Je suis comblé de sa confiance. »
L’homme laissa échapper un rire, peut-être dut au fait que Morgoth essayait de l’imiter. Il s’arrêta d’un coup devant une nouvelle intersection, manquant de ce faire rentrer dedans par le général qui s’arrêta pile avant. Pendant un moment il ce demanda ce qui ce passait avant de découvrir devant lui une vaste porte en fer, dont les lignes venait ce confondre avec la roche autour, un blason trônant en haut de la porte.
Plus que les dimensions impressionnante de la porte Morgoth fut surtout frapper par une constatation lorsqu’il la vit : le mécanisme empêchait autant les gens de rentrer que de sortir. Cette simple idée lui glaça l’échine, ce demandant si ce qu’il y avait dans cette salle méritait à ce point d’être enfermer. Face à lui son guide sortis une clé en or de sa manche qu’il fit rentrer dans une mince serrure, qui avala littéralement la clé. Dans un énorme vacarme la lourde porte s’ouvrit, déplaçant des nuages de poussière et laissant voir une obscurité absolue derrière.
Homme : « Pour moi je chemin est caché. Puisse l’Empereur éclairer vos pas »
*Si l’Empereur pouvait me fournir une lampe torche surtout…*
Peut convaincu Morgoth entra dans la salle : impossible de faire marche arrière désormais. Regardant autour de lui il remarqua qu’il s’était tromper : des lustres suspendus au plafond éclairaient faiblement la pièce, bien trop faiblement pour voir quelque chose.
Derrière lui le son sinistre de la porte ce fit de nouveau entendre, suivit de prêt par un claquement et un bruit de verrou. Peut à peut ses yeux s’habituèrent à l’obscurité, et si qu’il commença à voir lui coupa le souffle. Sur chaque côté des étagères partaient ce perdre vers l’obscurité, couverte de toute leur haute de parchemins et de livres. Jamais il n’avait imaginé autant d’écrit rassembler dans un même lieu, et dire qu’il n’avait même pas avancé !
Pourtant il restait mal à l’aise, comme si il avait négligé quelque chose. Ce retourna il comprit d’où venait ce sentiment : la porte derrière ne comportait n’y poignets n’y serrures, absolument rien qui permette de l’ouvrir. Il était pris au piège !
Morgoth (tapant sur la porte) : « Qu’est-ce que ça veut dire ? Ouvrez ! »
? : « Un peu de silence. On ne vous a jamais appris qu’il est une seconde parole ? »
Morgoth fit volte-face pour découvrir qui lui avait parler. Maintenant que ses yeux s’adaptaient à l’obscurité il pouvait voir un autre homme, pencher sur un grand livre, les mains croisées et la tête baisser.
? : « Voila comme cela c’est mieux non ? »
Morgoth : « Qui êtes vous ? L’archiviste ? »
Archiviste : « Vous êtes ici dans mon domaine jeune général. Savez-vous pourquoi vous êtes le premier de votre espèce à fouler ce sol sacré ? »
"Espèce" ? Sur quoi était t’il encore tombé ? Sans doute un rat de bibliothèque ayant perdu le sens des réalités. Mais si il voulait obtenir ce qu’il cherchait cet homme était un passage obligatoire.
Morgoth : « Et bien j’imagine que… »
Archiviste : « Car aucun de vous n’est un croyant en notre cause. Y croyez vous ? »
Morgoth : « Pour être honnête je… »
Archiviste : « Etrangement l’être humain croit au paradis comme à l’enfer, sans pour autant accepté que d’autres créatures les occupes. »
Cette fois Morgoth ne répondit rien. Non seulement l’autre ne semblait pas l’écouter mais en plus il venait de toucher un point sensible, le sujet même pour lequel il était là.
Archiviste : « Les apparitions démoniaques sont pour beaucoup une fantaisie, et beaucoup ici aimerais bien que ça le soit. Et maintenant si vous me disiez ce que vous recherchez ? »
Morgoth (tentant de rompre le silence) : « C’est encore loin ? »
Homme : « Moins loin que la victoire, et plus loin que le pêcher »
Morgoth : « Heu…oui. Bien sur »
Pas moyen d’obtenir une réponse claire avec ce genre de fanatique. Tout au long de sa carrière il avait croisé de nombreux fanatiques appartenant ou non à la FOI mais aucuns ne semblaient être aussi atteins que ceux-là.
Homme : « L’Empereur vous fait grand honneur. Nul militaire posé le pied ici auparavant »
La phrase le surprit. Non seulement il découvrait que cet homme pouvait prendre l’initiative de la parole mais en plus il réalisa pour la première fois à quel point ce qu’il avait demandé était immense. Maintenant il fallait trouver une réponse en harmonie avec la façon de penser des fanatiques.
Morgoth : « L’Empereur me fait en vérité un immense honneur. Je suis comblé de sa confiance. »
L’homme laissa échapper un rire, peut-être dut au fait que Morgoth essayait de l’imiter. Il s’arrêta d’un coup devant une nouvelle intersection, manquant de ce faire rentrer dedans par le général qui s’arrêta pile avant. Pendant un moment il ce demanda ce qui ce passait avant de découvrir devant lui une vaste porte en fer, dont les lignes venait ce confondre avec la roche autour, un blason trônant en haut de la porte.
Plus que les dimensions impressionnante de la porte Morgoth fut surtout frapper par une constatation lorsqu’il la vit : le mécanisme empêchait autant les gens de rentrer que de sortir. Cette simple idée lui glaça l’échine, ce demandant si ce qu’il y avait dans cette salle méritait à ce point d’être enfermer. Face à lui son guide sortis une clé en or de sa manche qu’il fit rentrer dans une mince serrure, qui avala littéralement la clé. Dans un énorme vacarme la lourde porte s’ouvrit, déplaçant des nuages de poussière et laissant voir une obscurité absolue derrière.
Homme : « Pour moi je chemin est caché. Puisse l’Empereur éclairer vos pas »
*Si l’Empereur pouvait me fournir une lampe torche surtout…*
Peut convaincu Morgoth entra dans la salle : impossible de faire marche arrière désormais. Regardant autour de lui il remarqua qu’il s’était tromper : des lustres suspendus au plafond éclairaient faiblement la pièce, bien trop faiblement pour voir quelque chose.
Derrière lui le son sinistre de la porte ce fit de nouveau entendre, suivit de prêt par un claquement et un bruit de verrou. Peut à peut ses yeux s’habituèrent à l’obscurité, et si qu’il commença à voir lui coupa le souffle. Sur chaque côté des étagères partaient ce perdre vers l’obscurité, couverte de toute leur haute de parchemins et de livres. Jamais il n’avait imaginé autant d’écrit rassembler dans un même lieu, et dire qu’il n’avait même pas avancé !
Pourtant il restait mal à l’aise, comme si il avait négligé quelque chose. Ce retourna il comprit d’où venait ce sentiment : la porte derrière ne comportait n’y poignets n’y serrures, absolument rien qui permette de l’ouvrir. Il était pris au piège !
Morgoth (tapant sur la porte) : « Qu’est-ce que ça veut dire ? Ouvrez ! »
? : « Un peu de silence. On ne vous a jamais appris qu’il est une seconde parole ? »
Morgoth fit volte-face pour découvrir qui lui avait parler. Maintenant que ses yeux s’adaptaient à l’obscurité il pouvait voir un autre homme, pencher sur un grand livre, les mains croisées et la tête baisser.
? : « Voila comme cela c’est mieux non ? »
Morgoth : « Qui êtes vous ? L’archiviste ? »
Archiviste : « Vous êtes ici dans mon domaine jeune général. Savez-vous pourquoi vous êtes le premier de votre espèce à fouler ce sol sacré ? »
"Espèce" ? Sur quoi était t’il encore tombé ? Sans doute un rat de bibliothèque ayant perdu le sens des réalités. Mais si il voulait obtenir ce qu’il cherchait cet homme était un passage obligatoire.
Morgoth : « Et bien j’imagine que… »
Archiviste : « Car aucun de vous n’est un croyant en notre cause. Y croyez vous ? »
Morgoth : « Pour être honnête je… »
Archiviste : « Etrangement l’être humain croit au paradis comme à l’enfer, sans pour autant accepté que d’autres créatures les occupes. »
Cette fois Morgoth ne répondit rien. Non seulement l’autre ne semblait pas l’écouter mais en plus il venait de toucher un point sensible, le sujet même pour lequel il était là.
Archiviste : « Les apparitions démoniaques sont pour beaucoup une fantaisie, et beaucoup ici aimerais bien que ça le soit. Et maintenant si vous me disiez ce que vous recherchez ? »
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Re: Chapitre III - Rattrapé par le passé
Morgoth Jeu 17 Juin - 16:14
Morgoth resta un moment devant l’homme, cherchant ses mots avec soin. Il savait ce qu’il était venu chercher mais il devait avant tout mettre l’homme en confiance et lui cacher ses véritables intentions : si on découvrait la vérité alors il serait sans doute tuer dans la minute. Pour le moment il devait de contenter de gagner du temps et, si possible, des informations sur ce qu’il devrait affronter un jour.
Morgoth : « A vrai dire j’aurais aimer en savoir plus sur votre ordre. »
L’homme eu un léger frémissement sous sa cape, comme si il esquivait un début de sourire. Peut-être avait t’il compris que le général cherchait à le duper.
Archiviste : « Vous me demandez de vous raconter plus de 2 millénaires de lutte ? Si je devais tout vous raconter nous en aurions pour plusieurs mois. »
Morgoth : « Si vous pouviez me faire une version abréger. Je n’ai que deux jours devant moi »
L’homme soupira sous sa cape, comme un artiste qu’on obligerait à n’expliquer qu’une partie de son art. Pour la première fois il ce leva de son siège, déplaçant une couche de poussière. Prenant son imposant livre entre les mains il ce mis à marcher, laissant Morgoth le suivre un peu en retrait. Le silence s’installa, seul le bruit des pas lent des deux hommes venant troubler le silence de mort qui régnait, l’impérial n’osant prendre la parole. Puis enfin l’homme ce mis à parler, désignant de temps en temps des draperies sur les murs.
Archiviste : « Depuis aussi loin que l’homme est capable d’écrire son histoire on constate l’apparition de ce genre de manifestation, dont le seul but semble le chaos et la destruction, bien qu’un but plus poussé qui nous échappe encore ne soit pas à négliger. Pendant toute la période de l’antiquité aucune organisation structurée ne permise de lutter contre ce fléau, bien que de grande civilisation comme Rome organisa des chasses sans pour autant donner une réelle structure à la lutte.
Le développement de l’église catholique au sein de l’Empire Romain permis de changer cela : Vers la fin du VI° siècle, 300 ans après que la chrétienté soit devenu la religion de l’Empire, on assista à une prise de conscience importante du problème, et la création du premier grouper chargé de traquer les créatures démoniaques. Cette ordre crée par le pape Grégoire I° fut placer sous les ordres de Jean Dixat, à l’époque un guerrier ecclésiastique de haute réputation.
Leur mission resta secrète pendant plusieurs siècles, afin de garder le peuple de la panique et surtout pour pouvoir traquer les apparitions démoniaques en toute tranquillité.
Cela changea avec le début de ce qu’on a appeler l’inquisition, au XII° siècle. En effet la grande instabilité que provoquèrent les croisades conduit quelques fous à révéler au peuple cette existence démoniaque, ce qui eu pour conséquence un mouvement de panique d’une ampleur incroyable. Pendant 5 siècle on assista a une véritable chasse dont malheureusement les victimes furent bien plus les être humains que les démons eux-mêmes, même si leur nombre fut considérable réduit au point qu’ils durent ce cacher pour éviter leur extermination sur ce plan. Après la fin des croisades la tension retomba et des effets secondaires néfastes apparurent : la peur faisant désormais passer notre mission pour une excuse afin de persécuter.
La lutte ne fut plus prise au sérieux et totalement abandonner par les pays au milieu du XIX siècle lorsque l’inquisition fut définitivement abolie en Espagne, marquant la fin du dernier pays en lutte. Cette période de calme fut pour moi un désastre sans nom, car si l’être humains oubliant la menace eux ne nous oubliaient pas, soignant leurs plaies ils purent repartir au combat. Le du XX° siècle et le début du XXI ne furent que génocides et, des millions de personne succombant au chaos engendrer.
Puis le 26 Juillet 2053 le Grand Empire vu le jour. Dès que la FOI fut crée l’Empereur pris très au sérieux cette menace pour l’humanité entière et décida de créer une branche secrète au sein même de la FOI : L’Ordo Malleus qui fut placée sous les ordres de Alexis Stern, fidèle serviteur de l’Empereur qui l’avait seconder durant la guerre Sino-Russe.
Très vite l’ordre ce développa, collectant de nombreuses informations afin de s’organiser au mieux sur les démons présent, créant une base de donnée très complexe. Tout fut mis par écrit et sceller, les données informatiques étant bien trop faciles à pirater. Lorsque la première enveloppe charnel de l’Empereur succomba la lutte commençait à prendre une tournure décisive : la nouvelle croisade commençait tout juste et les esprits maléfiques comprenaient alors le danger.
Pendant 27 ans la lutte s’arrêta de nouveau, le faux-Empereur donnant de moins en moins de moyen à l’Ordre, pensant même le dissoudre. Lorsque l'Empereur revint sous le nom de Max’-) il rétablit la grandeur de l’Ordo Malleus, lui offrant même de meilleurs moyens pour les récompenser de leur fidélité à leur mission durant ces 27 sombres année ainsi que pour leur clairvoyance, l’ordre ayant pris part au l’assaut sur le palais impérial à ses côtés.
Depuis ce jour bénis l’ordre n’a pas une seule fois manquer à sa mission, traquant et tuant d’innombrables apparitions démoniaques partout dans le monde, disposant de moyens illimités au nom du très saint Empereur. Des batailles comme celle de la chapelle chapelle Saint Azraël ou des cavernes alpines ne sont que quelques exemples parmi beaucoup de leur valeur. »
Le binôme fit enfin halte. Ils avaient marcher pendant longtemps et pourtant où que Morgoth tournait son regard il ne voyait que d’innombrables registres. C’était la première fois qu’il voyait autant d’informations réunit dans un même endroit, et il n’osait imaginer le nombre d’heures incalculable que cela avait du nécessiter. Il n’avait écouté l’histoire du vieil homme que d’une oreille, cherchant surtout comment il allait pouvoir s’y prendre pour le tromper
Archiviste : « Et si maintenant vous me disiez ce que vous cherchez réellement ? »
Ainsi il avait deviné. Mais dans ce cas autant aller droit au but en fournissant le moins de détail possible.
Morgoth : « Je recherche des informations sur un démon qui aurait disparu depuis un certain moment…un démon assez fort qui aurait agit au moins durant le moyen-âge. »
Archiviste : « Je vois…dans ce cas je vous conseille de rechercher dans cette partie. C’est là que vous avez le plus de chance de trouver. »
Le général sentis la tête lui tourner. Vu le nombre d’écrit il en aurait pour plusieurs semaines au moins.
Morgoth : « Vous ne pouvez pas m’aider un peu plus ? »
Archiviste : « Vous pouvez me fournir plus de détails ? »
Morgoth (après hésitation) : « Non, malheureusement. »
Archiviste : « Alors je vous conseil de vous y mettre rapidement »
Morgoth : « A vrai dire j’aurais aimer en savoir plus sur votre ordre. »
L’homme eu un léger frémissement sous sa cape, comme si il esquivait un début de sourire. Peut-être avait t’il compris que le général cherchait à le duper.
Archiviste : « Vous me demandez de vous raconter plus de 2 millénaires de lutte ? Si je devais tout vous raconter nous en aurions pour plusieurs mois. »
Morgoth : « Si vous pouviez me faire une version abréger. Je n’ai que deux jours devant moi »
L’homme soupira sous sa cape, comme un artiste qu’on obligerait à n’expliquer qu’une partie de son art. Pour la première fois il ce leva de son siège, déplaçant une couche de poussière. Prenant son imposant livre entre les mains il ce mis à marcher, laissant Morgoth le suivre un peu en retrait. Le silence s’installa, seul le bruit des pas lent des deux hommes venant troubler le silence de mort qui régnait, l’impérial n’osant prendre la parole. Puis enfin l’homme ce mis à parler, désignant de temps en temps des draperies sur les murs.
Archiviste : « Depuis aussi loin que l’homme est capable d’écrire son histoire on constate l’apparition de ce genre de manifestation, dont le seul but semble le chaos et la destruction, bien qu’un but plus poussé qui nous échappe encore ne soit pas à négliger. Pendant toute la période de l’antiquité aucune organisation structurée ne permise de lutter contre ce fléau, bien que de grande civilisation comme Rome organisa des chasses sans pour autant donner une réelle structure à la lutte.
Le développement de l’église catholique au sein de l’Empire Romain permis de changer cela : Vers la fin du VI° siècle, 300 ans après que la chrétienté soit devenu la religion de l’Empire, on assista à une prise de conscience importante du problème, et la création du premier grouper chargé de traquer les créatures démoniaques. Cette ordre crée par le pape Grégoire I° fut placer sous les ordres de Jean Dixat, à l’époque un guerrier ecclésiastique de haute réputation.
Leur mission resta secrète pendant plusieurs siècles, afin de garder le peuple de la panique et surtout pour pouvoir traquer les apparitions démoniaques en toute tranquillité.
Cela changea avec le début de ce qu’on a appeler l’inquisition, au XII° siècle. En effet la grande instabilité que provoquèrent les croisades conduit quelques fous à révéler au peuple cette existence démoniaque, ce qui eu pour conséquence un mouvement de panique d’une ampleur incroyable. Pendant 5 siècle on assista a une véritable chasse dont malheureusement les victimes furent bien plus les être humains que les démons eux-mêmes, même si leur nombre fut considérable réduit au point qu’ils durent ce cacher pour éviter leur extermination sur ce plan. Après la fin des croisades la tension retomba et des effets secondaires néfastes apparurent : la peur faisant désormais passer notre mission pour une excuse afin de persécuter.
La lutte ne fut plus prise au sérieux et totalement abandonner par les pays au milieu du XIX siècle lorsque l’inquisition fut définitivement abolie en Espagne, marquant la fin du dernier pays en lutte. Cette période de calme fut pour moi un désastre sans nom, car si l’être humains oubliant la menace eux ne nous oubliaient pas, soignant leurs plaies ils purent repartir au combat. Le du XX° siècle et le début du XXI ne furent que génocides et, des millions de personne succombant au chaos engendrer.
Puis le 26 Juillet 2053 le Grand Empire vu le jour. Dès que la FOI fut crée l’Empereur pris très au sérieux cette menace pour l’humanité entière et décida de créer une branche secrète au sein même de la FOI : L’Ordo Malleus qui fut placée sous les ordres de Alexis Stern, fidèle serviteur de l’Empereur qui l’avait seconder durant la guerre Sino-Russe.
Très vite l’ordre ce développa, collectant de nombreuses informations afin de s’organiser au mieux sur les démons présent, créant une base de donnée très complexe. Tout fut mis par écrit et sceller, les données informatiques étant bien trop faciles à pirater. Lorsque la première enveloppe charnel de l’Empereur succomba la lutte commençait à prendre une tournure décisive : la nouvelle croisade commençait tout juste et les esprits maléfiques comprenaient alors le danger.
Pendant 27 ans la lutte s’arrêta de nouveau, le faux-Empereur donnant de moins en moins de moyen à l’Ordre, pensant même le dissoudre. Lorsque l'Empereur revint sous le nom de Max’-) il rétablit la grandeur de l’Ordo Malleus, lui offrant même de meilleurs moyens pour les récompenser de leur fidélité à leur mission durant ces 27 sombres année ainsi que pour leur clairvoyance, l’ordre ayant pris part au l’assaut sur le palais impérial à ses côtés.
Depuis ce jour bénis l’ordre n’a pas une seule fois manquer à sa mission, traquant et tuant d’innombrables apparitions démoniaques partout dans le monde, disposant de moyens illimités au nom du très saint Empereur. Des batailles comme celle de la chapelle chapelle Saint Azraël ou des cavernes alpines ne sont que quelques exemples parmi beaucoup de leur valeur. »
Le binôme fit enfin halte. Ils avaient marcher pendant longtemps et pourtant où que Morgoth tournait son regard il ne voyait que d’innombrables registres. C’était la première fois qu’il voyait autant d’informations réunit dans un même endroit, et il n’osait imaginer le nombre d’heures incalculable que cela avait du nécessiter. Il n’avait écouté l’histoire du vieil homme que d’une oreille, cherchant surtout comment il allait pouvoir s’y prendre pour le tromper
Archiviste : « Et si maintenant vous me disiez ce que vous cherchez réellement ? »
Ainsi il avait deviné. Mais dans ce cas autant aller droit au but en fournissant le moins de détail possible.
Morgoth : « Je recherche des informations sur un démon qui aurait disparu depuis un certain moment…un démon assez fort qui aurait agit au moins durant le moyen-âge. »
Archiviste : « Je vois…dans ce cas je vous conseille de rechercher dans cette partie. C’est là que vous avez le plus de chance de trouver. »
Le général sentis la tête lui tourner. Vu le nombre d’écrit il en aurait pour plusieurs semaines au moins.
Morgoth : « Vous ne pouvez pas m’aider un peu plus ? »
Archiviste : « Vous pouvez me fournir plus de détails ? »
Morgoth (après hésitation) : « Non, malheureusement. »
Archiviste : « Alors je vous conseil de vous y mettre rapidement »
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Re: Chapitre III - Rattrapé par le passé
Morgoth Jeu 17 Juin - 16:37
La nuit et les ténèbres, la lune et les étoiles, le sable et le vent. La paix, éternel est belle vénérer et désirer par tous. Ces imbéciles ne pouvaient donc pas comprendre que tant qu’un seul d’entre eux vivrait alors seul la guerre serait possible. Avec les être humains seul la paix par extermination totale était possible. Que la lune ce gorge donc de leur sang, que leurs âmes tourmenter refassent donc surface, il s’en moquait. Il ne luttait que pour la paix, même si celle-ci signifiait être seul au monde !
Morgoth : « NON, PAS CA »
Il ce releva d’un bond, cherchant la moindre trace de sang ou d’ennemi. Rien…il était toujours dans les archives de la FOI, assis sur une chaise en bois. Devant lui des dizaines, voir des centaines de parchemins et de livres gisaient en désordre.
Il avait du s’endormir malgré les drogues qu’il prenait : cela faisant plus d’un jour et demi qu’il parcourait d’immenses grimoires à la recherche de la moindre piste, du moindre indice qui aurait put l’aider. Il avait consulter des archives écrites dans des langues qu’il ne connaissait pas, d’autres dans de vieux language coder lunaire, et malgré cela il n’avait pas progresser d’un pouce.
Malgré les traductions copier soigneusement à coter, rien n’y faisait. Pour être honnête il commençait à perdre patience et à désespérer. Peut-être que les archives étaient trop vastes pour lui être utile vu ses maigres informations. Un fois de plus il pris le premier livre qui lui tomba sous la main.
Pourquoi fallait t’il que tout ces trucs aient un aspect aussi gore ? Il l’ouvrit, tombant une fois de plus sur un langage oublié, impossible à traduire ses les annexes fournit. Il lui fallut plusieurs minutes avant de s’arrêter net, réalisant quelque chose. Il comprenait cette langue ! Il arrivait à la lire comme si une traduction était posée dessus. Feuilletant le livre frénétiquement il tomba enfin sur un passage intéressant, dont la traduction vint aussitôt sur superposer. A mesure qu’il lisait il ce sentait comme plonger dans les ténèbres, comme si l’infime parcelle de lumière qui lui restait vacillait afin de s’éteindre finalement, le laissant seul sans le moindre espoir.
Il avait jusque là tenu en ce disant qu’il avait imaginer tout cela, que la guerre l’avait finalement rendu fou au point qu’il mette en rapport des choses isolées et sa propre imagination. Au fur et à mesure que ses recherches ici ne progressaient pas il avait finit par reprendre espoir, et même accepter l’idée que au fond il n’était qu’un idiot de ce faire dans d’idées. Mais en quelques minutes ses rêves avaient été balayés, et ce sentiment de solide ne faisait que ce renforcer à mesure qu’il lisait et relisait le même passage au point de le savoir par cœur.
Son découragement fut de courte durée : puisqu’il était là autant en apprendre le plus possible. Il avait consulter tellement d’archives qu’il connaissait sur le bout des doigts leur méthode d’archivage : à côté du livre un parchemin beaucoup moins ancien était enroulé sur lui-même. Ce dépliant entre ses doigts il ce mis à lire le rapport du chasseur chargé de ce démon, accompagner comme d’habitude d’un photographie en noir et blanc de l’homme.
Au moins celui-ci n’avait pas encore retrouvé sa trace, ce qui voulait dire que Morgoth avait encore un peu de temps devant lui. Un bruit rythmer de pas le fit refermer rapidement les archives qu’il était entrain de consulter, nerveux et inquiet à l’idée de ses cherches puisse le trahir. Puis un homme apparu, sans doute l’archiviste qui devait avoir retirer sa cape, et qui portait comme à son habitude un immense livre entre les mains.
Archiviste : « Vous êtes encore là pour longtemps ? Je ne tolère pas le moindre bruit ici, et surtout pas vos hurlements »
Morgoth : « Désoler. Mais je vais de toute façon quitter ce lieu, vos archives sont bien trop vastes pour m’être utile »
Morgoth ce leva, salua l’homme, puis commença à ce retirer avec le plus de détachement dont il était capable.
Archiviste : « Je suis sur que nous nous reverrons un jour. N’oubliez pas que aucun démon ne peut nous échapper »
Un frisson glacé lui parcoura le dos, alors que le général ce retenait à grande peine demander des explications ou même de ce retourner. Peut-être n’avait t’il pas autant de temps que prévu. Peut-être…
Morgoth : « NON, PAS CA »
Il ce releva d’un bond, cherchant la moindre trace de sang ou d’ennemi. Rien…il était toujours dans les archives de la FOI, assis sur une chaise en bois. Devant lui des dizaines, voir des centaines de parchemins et de livres gisaient en désordre.
Il avait du s’endormir malgré les drogues qu’il prenait : cela faisant plus d’un jour et demi qu’il parcourait d’immenses grimoires à la recherche de la moindre piste, du moindre indice qui aurait put l’aider. Il avait consulter des archives écrites dans des langues qu’il ne connaissait pas, d’autres dans de vieux language coder lunaire, et malgré cela il n’avait pas progresser d’un pouce.
Malgré les traductions copier soigneusement à coter, rien n’y faisait. Pour être honnête il commençait à perdre patience et à désespérer. Peut-être que les archives étaient trop vastes pour lui être utile vu ses maigres informations. Un fois de plus il pris le premier livre qui lui tomba sous la main.
Pourquoi fallait t’il que tout ces trucs aient un aspect aussi gore ? Il l’ouvrit, tombant une fois de plus sur un langage oublié, impossible à traduire ses les annexes fournit. Il lui fallut plusieurs minutes avant de s’arrêter net, réalisant quelque chose. Il comprenait cette langue ! Il arrivait à la lire comme si une traduction était posée dessus. Feuilletant le livre frénétiquement il tomba enfin sur un passage intéressant, dont la traduction vint aussitôt sur superposer. A mesure qu’il lisait il ce sentait comme plonger dans les ténèbres, comme si l’infime parcelle de lumière qui lui restait vacillait afin de s’éteindre finalement, le laissant seul sans le moindre espoir.
Il avait jusque là tenu en ce disant qu’il avait imaginer tout cela, que la guerre l’avait finalement rendu fou au point qu’il mette en rapport des choses isolées et sa propre imagination. Au fur et à mesure que ses recherches ici ne progressaient pas il avait finit par reprendre espoir, et même accepter l’idée que au fond il n’était qu’un idiot de ce faire dans d’idées. Mais en quelques minutes ses rêves avaient été balayés, et ce sentiment de solide ne faisait que ce renforcer à mesure qu’il lisait et relisait le même passage au point de le savoir par cœur.
Son découragement fut de courte durée : puisqu’il était là autant en apprendre le plus possible. Il avait consulter tellement d’archives qu’il connaissait sur le bout des doigts leur méthode d’archivage : à côté du livre un parchemin beaucoup moins ancien était enroulé sur lui-même. Ce dépliant entre ses doigts il ce mis à lire le rapport du chasseur chargé de ce démon, accompagner comme d’habitude d’un photographie en noir et blanc de l’homme.
Au moins celui-ci n’avait pas encore retrouvé sa trace, ce qui voulait dire que Morgoth avait encore un peu de temps devant lui. Un bruit rythmer de pas le fit refermer rapidement les archives qu’il était entrain de consulter, nerveux et inquiet à l’idée de ses cherches puisse le trahir. Puis un homme apparu, sans doute l’archiviste qui devait avoir retirer sa cape, et qui portait comme à son habitude un immense livre entre les mains.
Archiviste : « Vous êtes encore là pour longtemps ? Je ne tolère pas le moindre bruit ici, et surtout pas vos hurlements »
Morgoth : « Désoler. Mais je vais de toute façon quitter ce lieu, vos archives sont bien trop vastes pour m’être utile »
Morgoth ce leva, salua l’homme, puis commença à ce retirer avec le plus de détachement dont il était capable.
Archiviste : « Je suis sur que nous nous reverrons un jour. N’oubliez pas que aucun démon ne peut nous échapper »
Un frisson glacé lui parcoura le dos, alors que le général ce retenait à grande peine demander des explications ou même de ce retourner. Peut-être n’avait t’il pas autant de temps que prévu. Peut-être…
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Re: Chapitre III - Rattrapé par le passé
Morgoth Jeu 17 Juin - 16:38
Le trajet de retour avait semblé beaucoup plus long que celui de l’aller. Sur les trois jours de repos qu’il avait pris il lui restant encore un peu moins d’une journée. Morgoth avait donc décider d’en profiter pour faire un détour par son laboratoire histoire de récolter les dernières nouvelles et de mettre à profit ce qu’il venait d’apprendre grâce à ses propres archives sur le sujet. Durant toute la durée du trajet il n’avait pas put trouver le sommeil, et pour être honnête il n’en avait pas vraiment envi. A côté de lui une boite de pilules anti-fatigue traînait, totalement vider par Morgoth en moins de trois jours. Grâce à cela son corps pouvait supporter le manque de sommeil, lui fournissant l’énergie nécessaire pour tenir debout. Mais malgré cela son esprit était totalement inactif, et lui-même voyait ses réflexes diminuer au minimum.
Sans ses implants il serait sans doute devenu amorphe, incapable de réfléchir. L’écran de contrôle lui annonça que la navette arrivait enfin à destination, amorçant l’atterrissage automatique sur la plate-forme laissé à l’air libre. Sortant par la passerelle l’impérial sentis le vent venir lui fouetter le visage, sa cape rouge flottant dans le vent. Comme d’habitude des gardes en armures noires l’attendait au garde-à-vous, alors que derrières eux divers hommes attendait comme à leur habitude pour lui demander plus de moyens dans telle ou telle branche de recherche. Il n’avait pas le temps pour cela, et leurs demandes s’éteignirent sur leurs lèvres quand ils virent Morgoth passer devant eux sans un seul mot, les yeux vide d’intérêt au dessus d’immenses cernes.
Les mots de l’archiviste lui avait bien fait comprendre une chose : il n’avait put voir que ce qu’on voulait bien qu’il voit. Pendant tout ce temps il avait pensé les tromper, alors qu’en réalité c’était eux qui avaient joués avec lui. Il parcourait nerveusement les couloirs interminables du complexe, s’attendant à chaque détour de couloir à voir apparaître une armée d’inquisiteurs prêt à lui faire subir une purification à grand coup de lance-flamme lourd. Enfin il arriva à ce qu’il voulait : la section où l’on traitait tout les cas ayant un rapport avec le surnaturel ou le mystique. Jusque là il avait toujours pensé que ses archives étaient très complètes mais désormais il savait qu’en réalité ses connaissances sur le sujet étaient très limités. Contre les murs des dizaines d’ordinateurs étaient occuper par des hommes passant tout leur temps sur des recherches diverses, exploitant toutes les données collecter.
Scientifique : « C’est rare de vous voir ici. »
Morgoth : « Ca risque de l’être de moins en moins. Il est temps de rentabiliser tout l’argent que je vous donne »
Scientifique (surpris) : « Heu…oui bien sur. Qu’est-ce que nous pouvons faire ? »
Morgoth : « Je vais avoir besoin de consulter vos données aussi régulièrement que possible. Je vous dirais comment orienter vos recherches et je veut un rapport toutes les semaines. »
Scientifique : « Je comprend. Si vous voulez consulter nos données aller donc dans le sous-sol, c’est là qu’elle ce trouve. La personne en charge de cela vous aidera. »
L’impérial avait à peine attendu la fin de la phrase qu’il ce dirigea vers le lieu indique, descendant rapidement les escaliers éclairer par des ampoules vacillantes, s’éteignant pour ce rallumer quelques secondes plus tard. Ouvrant la porte avec fracas il tomba sur une grande pièce faite de roc où l’on trouvait au fond un serveur lui lequel quelqu'un travaillait déjà. Aussitôt Morgoth reconnue celle qu’on lui avait présenté la dernière fois qu’il était venu. Bizarrement il n’avait jamais imaginé la retrouver ici, dans une branche aussi peu…rationnel. C’est à peine si il ce rendait compte que celle-ci ce levait pour le regarder d’un air sévère
Lucrétia : « On vous a jamais appris à frapper avant d’entrer ? »
La remarque le surpris. Jamais on ne s’était adresser comme cela ici, et en réalité peut étaient ceux qui lui avait parler sur ce ton durant toute sa carrière. Et pire, pour une raison qu’il ne pouvait saisir…il s’excusa.
Morgoth : « Heu…oui bien sur. Je suis vraiment désoler »
Sur le moment il ce sentait très petit et très stupide. Mais étrangement un son ce fit entendre, quelque chose dont il ne s’était vraiment pas attendu : un rire. Un rire franc et honnête, qui eux l’effet d’un coup de poing dans la face pour Morgoth. Un rire qui eu lui remis les idées en place : pour la première fois il sentis ses nerfs ce relâcher et sa mâchoire ce décrisper. Finalement cet endroit devait de plus en plus agréable, et il allait sans doute devoir faire plus de recherches que prévues.
Sans ses implants il serait sans doute devenu amorphe, incapable de réfléchir. L’écran de contrôle lui annonça que la navette arrivait enfin à destination, amorçant l’atterrissage automatique sur la plate-forme laissé à l’air libre. Sortant par la passerelle l’impérial sentis le vent venir lui fouetter le visage, sa cape rouge flottant dans le vent. Comme d’habitude des gardes en armures noires l’attendait au garde-à-vous, alors que derrières eux divers hommes attendait comme à leur habitude pour lui demander plus de moyens dans telle ou telle branche de recherche. Il n’avait pas le temps pour cela, et leurs demandes s’éteignirent sur leurs lèvres quand ils virent Morgoth passer devant eux sans un seul mot, les yeux vide d’intérêt au dessus d’immenses cernes.
Les mots de l’archiviste lui avait bien fait comprendre une chose : il n’avait put voir que ce qu’on voulait bien qu’il voit. Pendant tout ce temps il avait pensé les tromper, alors qu’en réalité c’était eux qui avaient joués avec lui. Il parcourait nerveusement les couloirs interminables du complexe, s’attendant à chaque détour de couloir à voir apparaître une armée d’inquisiteurs prêt à lui faire subir une purification à grand coup de lance-flamme lourd. Enfin il arriva à ce qu’il voulait : la section où l’on traitait tout les cas ayant un rapport avec le surnaturel ou le mystique. Jusque là il avait toujours pensé que ses archives étaient très complètes mais désormais il savait qu’en réalité ses connaissances sur le sujet étaient très limités. Contre les murs des dizaines d’ordinateurs étaient occuper par des hommes passant tout leur temps sur des recherches diverses, exploitant toutes les données collecter.
Scientifique : « C’est rare de vous voir ici. »
Morgoth : « Ca risque de l’être de moins en moins. Il est temps de rentabiliser tout l’argent que je vous donne »
Scientifique (surpris) : « Heu…oui bien sur. Qu’est-ce que nous pouvons faire ? »
Morgoth : « Je vais avoir besoin de consulter vos données aussi régulièrement que possible. Je vous dirais comment orienter vos recherches et je veut un rapport toutes les semaines. »
Scientifique : « Je comprend. Si vous voulez consulter nos données aller donc dans le sous-sol, c’est là qu’elle ce trouve. La personne en charge de cela vous aidera. »
L’impérial avait à peine attendu la fin de la phrase qu’il ce dirigea vers le lieu indique, descendant rapidement les escaliers éclairer par des ampoules vacillantes, s’éteignant pour ce rallumer quelques secondes plus tard. Ouvrant la porte avec fracas il tomba sur une grande pièce faite de roc où l’on trouvait au fond un serveur lui lequel quelqu'un travaillait déjà. Aussitôt Morgoth reconnue celle qu’on lui avait présenté la dernière fois qu’il était venu. Bizarrement il n’avait jamais imaginé la retrouver ici, dans une branche aussi peu…rationnel. C’est à peine si il ce rendait compte que celle-ci ce levait pour le regarder d’un air sévère
Lucrétia : « On vous a jamais appris à frapper avant d’entrer ? »
La remarque le surpris. Jamais on ne s’était adresser comme cela ici, et en réalité peut étaient ceux qui lui avait parler sur ce ton durant toute sa carrière. Et pire, pour une raison qu’il ne pouvait saisir…il s’excusa.
Morgoth : « Heu…oui bien sur. Je suis vraiment désoler »
Sur le moment il ce sentait très petit et très stupide. Mais étrangement un son ce fit entendre, quelque chose dont il ne s’était vraiment pas attendu : un rire. Un rire franc et honnête, qui eux l’effet d’un coup de poing dans la face pour Morgoth. Un rire qui eu lui remis les idées en place : pour la première fois il sentis ses nerfs ce relâcher et sa mâchoire ce décrisper. Finalement cet endroit devait de plus en plus agréable, et il allait sans doute devoir faire plus de recherches que prévues.
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Re: Chapitre III - Rattrapé par le passé
Morgoth Jeu 17 Juin - 16:38
Le désert Egyptien, lieu de tant de mythes et de comptes, parties incontournable de ce qui fut une des 3 grandes civilisations dans les temps antiques. Autrefois lieu de calme et de paix absolue, aujourd'hui lieu de la folie des hommes.
La paix et le silence étaient désormais troublés par les hurlements des blessés, les cris de guerre censés donner du courage aux soldats, ainsi que par le bruit incessant des armes qui brûlent/découpent/trouent la chair humaine. Déjà le sable commençait à éponger le sang qui ce répandait sur le sol, laissant apparaître des tâches rouges impossible à effacer là où les combats avaient été les plus violents.
Le parachutage plus que douteux avait créer un incroyable bordel au sein de toutes les armées : les compagnies étaient pour la plupart disperser, les binômes eux-mêmes séparer, et certains soldats totalement isoler du reste de l'armée. Dans de telles conditions le moral des soldats était au plus bas, surtout lorsque l'on pouvait constater sur la carte que l'Empire était pris en tenaille par l'Alliance et les Lunaires. Et comme si cela ne suffisait pas, Anakin avait été tué, l'Empire perdant ainsi un soldat comme il en aurait fallu pour sortir de cette situation et pour remotiver les hommes.
La KRAZ dans son ensemble avait eu de la chance pour le largage dans le pays : la quasi-totalité des effectifs de la compagnies avaient put être reconstituer, permettant de reprendre une puissante dynamique toujours aussi mortelle pour l'ennemis. Ainsi la ville baptiser "QG9" selon le protocole militaire habituel avait été prise par les impériaux, rendant inutile une quelconque résistance ennemie. Après que la ville fut totalement une nouvelle opération fut lancer afin de faire la jonction avec les forces jusque là isoler du reste de l'armée.
Appuyer sur un palmier, Morgoth repensait aux derniers jours qu'il avait vécu : l'atterrissage un peu brusque qui avait manquer de lui coûter la vie, le retour du maréchal Sejanus, ainsi que les combats de rue. Mais pire que tout il était sans nouvelles de Diante depuis le début de la campagne. Même si sa présence était pas des plus reposant, Morgoth avait finit par s'y faire…enfin il avait essayer. Malgré tout Diante était un bon soldat, un peu psychopathe mais il parvenait toujours à remonter le moral des autres et sous ses airs de gamin révolter était toujours de bon conseil.
Le com-link vibra, sortant l'impérial de sa torpeur. Il n'avait même pas besoin de lire le message qu'il contenait pour savoir ce qui y était marqué. Sortant de l'ombre rafraîchissante il rejoignit le reste du groupe. Quelques minutes plus tard l'armée traversa le pont, certains finissant dans le Nil à cause des bousculades. Heureusement l'ennemi ne semblait pas disposer de pièces d'artilleries dans le coin, rendant le flot continu d'impériaux impossibles à stopper. Très vite ils furent sur l'ennemi, celui-ci ne disposant pas de la puissance de feu pour les contenir ne put que battre en retraite, laissant quelques hommes assez courageux/fous pour opposer une héroïque résistance. D'un coup d'épée laser l'impérial perfora le poumon d'un soldat, mettant celui-ci à terre. Un second coup fit voler son bras gauche jusqu'à l'épaule, laissant un flot de sang sortir de la plaie et de la bouche du malheureux. Sans aucune hésitation Morgoth leva sa lame pour porter le denier coup.
« Mais si il est pas mignon avec son couteau. Avale plutôt ça, tu me diras si c'est bon. »
Le coup de lame tomba à côté de l'homme trop blesser pour s'en apercevoir mais Morgoth s'en fichait. Au loin il pouvait voir Diante enfoncer son arme laser dans la gorge d'un pauvre allier qui s'écroula mort. Encore quelques coups sur un autres ennemis puis Diante aperçu son binôme, laissant tomber sa cible pour le rejoindre. Il n'y eu aucune poigner de main, aucun bonjour, et aucun"comment ça va?"
Diante : « Pas encore passer à la cuve? Tu exploses ton record de survie. »
Morgoth : « Il faut bien que quelqu'un te surveille »
Les deux hommes ce rejetèrent dans la bataille d'un même élan.
La paix et le silence étaient désormais troublés par les hurlements des blessés, les cris de guerre censés donner du courage aux soldats, ainsi que par le bruit incessant des armes qui brûlent/découpent/trouent la chair humaine. Déjà le sable commençait à éponger le sang qui ce répandait sur le sol, laissant apparaître des tâches rouges impossible à effacer là où les combats avaient été les plus violents.
Le parachutage plus que douteux avait créer un incroyable bordel au sein de toutes les armées : les compagnies étaient pour la plupart disperser, les binômes eux-mêmes séparer, et certains soldats totalement isoler du reste de l'armée. Dans de telles conditions le moral des soldats était au plus bas, surtout lorsque l'on pouvait constater sur la carte que l'Empire était pris en tenaille par l'Alliance et les Lunaires. Et comme si cela ne suffisait pas, Anakin avait été tué, l'Empire perdant ainsi un soldat comme il en aurait fallu pour sortir de cette situation et pour remotiver les hommes.
La KRAZ dans son ensemble avait eu de la chance pour le largage dans le pays : la quasi-totalité des effectifs de la compagnies avaient put être reconstituer, permettant de reprendre une puissante dynamique toujours aussi mortelle pour l'ennemis. Ainsi la ville baptiser "QG9" selon le protocole militaire habituel avait été prise par les impériaux, rendant inutile une quelconque résistance ennemie. Après que la ville fut totalement une nouvelle opération fut lancer afin de faire la jonction avec les forces jusque là isoler du reste de l'armée.
Appuyer sur un palmier, Morgoth repensait aux derniers jours qu'il avait vécu : l'atterrissage un peu brusque qui avait manquer de lui coûter la vie, le retour du maréchal Sejanus, ainsi que les combats de rue. Mais pire que tout il était sans nouvelles de Diante depuis le début de la campagne. Même si sa présence était pas des plus reposant, Morgoth avait finit par s'y faire…enfin il avait essayer. Malgré tout Diante était un bon soldat, un peu psychopathe mais il parvenait toujours à remonter le moral des autres et sous ses airs de gamin révolter était toujours de bon conseil.
Le com-link vibra, sortant l'impérial de sa torpeur. Il n'avait même pas besoin de lire le message qu'il contenait pour savoir ce qui y était marqué. Sortant de l'ombre rafraîchissante il rejoignit le reste du groupe. Quelques minutes plus tard l'armée traversa le pont, certains finissant dans le Nil à cause des bousculades. Heureusement l'ennemi ne semblait pas disposer de pièces d'artilleries dans le coin, rendant le flot continu d'impériaux impossibles à stopper. Très vite ils furent sur l'ennemi, celui-ci ne disposant pas de la puissance de feu pour les contenir ne put que battre en retraite, laissant quelques hommes assez courageux/fous pour opposer une héroïque résistance. D'un coup d'épée laser l'impérial perfora le poumon d'un soldat, mettant celui-ci à terre. Un second coup fit voler son bras gauche jusqu'à l'épaule, laissant un flot de sang sortir de la plaie et de la bouche du malheureux. Sans aucune hésitation Morgoth leva sa lame pour porter le denier coup.
« Mais si il est pas mignon avec son couteau. Avale plutôt ça, tu me diras si c'est bon. »
Le coup de lame tomba à côté de l'homme trop blesser pour s'en apercevoir mais Morgoth s'en fichait. Au loin il pouvait voir Diante enfoncer son arme laser dans la gorge d'un pauvre allier qui s'écroula mort. Encore quelques coups sur un autres ennemis puis Diante aperçu son binôme, laissant tomber sa cible pour le rejoindre. Il n'y eu aucune poigner de main, aucun bonjour, et aucun"comment ça va?"
Diante : « Pas encore passer à la cuve? Tu exploses ton record de survie. »
Morgoth : « Il faut bien que quelqu'un te surveille »
Les deux hommes ce rejetèrent dans la bataille d'un même élan.
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