Prélude

Il était une fois…tel est ainsi que débute de nombreuses histoires, comme des contes de fées qu’on raconte aux enfants. Cette histoire pourrait bien commencer de la même manière mais elle est loin, très loin, du conte de Fée
Celui qui est aujourd’hui connu sous le nom de Morgoth naquit le 13 mars de l’année 2128 (selon le calendrier chrétien) dans une ville de France. A cette époque la guerre faisait rage depuis déjà rage depuis 36 longues années sans que l’Alliance Terrestre ou le Grand Empire parvienne à s’imposer sur l’autre.
On sait que peut de chose sur l’enfance de cet homme, hormis le fait qu’il fut très vite formé à l’art du maniement des armes à feu dans un monde où rien ne pouvait stopper la folie des hommes.
Dès qu’il le put, il s’engagea dans une société chargée d’assurer la protection de gens important, chose qui lui fut accordé en 2146 malgré son jeune âge. Pour autant qu’il s’en souvienne Morgoth put assurer la protection de divers dirigeant de l’Alliance mais ne fut jamais convaincu par leurs discours lorsque ceux-ci essayaient de recruter de nouveaux soldats parmi les gardes du corps. Puis ceux qu’on appela les lunaires débarquèrent en Australie et la guerre pris un nouveau visage : Certains fanatiques lunaires ce mirent à lancer une vague d’attentat sur les dirigeants des deux camps déjà en guerre. C’est un jour de ces jours d’attentats que début l’histoire de Morgoth :



Attention, une bombe !
Des hurlements, des personnes qui tentent désespérément de mettre la personne à l’abri…trop tard.
La déflagration qui vous projette dans les airs, le bruit lointain des vitres qui ce brises, le feu qui vous rejoint, qui commence à brûler vos vêtements puis votre corps…vos mains…votre visage…vos yeux. Puis la sensation de toucher le sol comme après une longue chute. Un silence de mort alors que autour de vous tout s’agite… la compréhension que vous oreilles sont elles aussi brûlées. Le silence et les ténèbres…
Puis le bruit au milieu des ténèbres, du bruit par flash
part ici…je crois qu’il est encore en vie…oui bien compris…transportez le au bloc 10…il est dans un sale état…attention vous voulez le tuer ou quoi…ça y est il ne reste plus qu’à attendre

LE FEU ! Il est là, il vous entoure une fois de plus. Mais il perd en intensité, perd de sa couleur rouge, pâlît au point de devenir blanc…un néon ?
Vous voyez la clair depuis…depuis vous ne savez combien de temp.
*Où suis-je ?*
Tiens, je vois que notre invité a enfin finit sa sieste.
Vous tournez la tête pour voir un médecin en blouse blanche se lever de sa chaise pour venir vers vous, un sourire amical au coin de la lèvre. Dès ce moment vous vous dites que si vous êtes au paradis alors on vante beaucoup trop les anges.
Qu’est-ce que je fais là ?
Reposez vous. Vous avez faillit mourir, c’est un véritable miracle que vous soyez toujours en vie.
Vous essayez de vous levez, mais vous êtes retenu au lit, comme attacher à lui. Puis graduellement vous remarquez que ce qui vous retient n’est autre que des chaînes.
Qu’est-ce que c’est ? Pourquoi m’avoir enchaîner ?
Je suis désoler N° 13 Morgoth, c’est pour assurer notre sécurité.
Mais c’est quoi ces conneries ? Ne m’appelez pas comme ça, mon nom est…
Vous essayez de vous rappeler votre nom…mais si bien sur c’est…mais allons un peu d’effort votre nom est…
Inutile N° 13, nous avons effacer cette partie de votre mémoire. Désormais vous n’avez plus qu’un seul nom : Morgoth
Morgoth, ce nom résonne à vos oreilles comme un écho répéter des dizaines, des centaines de fois. Et tandis que l’homme s’éloigne vous sentez au fond de vous-même que plus jamais rien ne sera comme avant et que a jamais une partie de vous sera mort dans cette explosion.
Voila ce que ça fait à ce moment d’être Morgoth.

Si le sommeil vous apporte rêve et réconfort, le retour à la réalité est souvent brutal et peut enviable.
Lorsqu’il s’éveilla Morgoth était toujours allonger, mais à la verticale, enchaîner sur une table d’opération. Face à lui ce tenait un homme en blouse blanche apparemment fasciner par quelque chose.



Magnifique, vraiment magnifique spécimen. Nous avons bien fait de le sauver. Grâce à lui nous allons faire un grand pas dans nos recherches.
*Spécimen ? Recherche ?*
Le scientifique releva la tête et contempla Morgoth derrière ses lunettes avant de reprendre la parole.
Bonjour N° 13. Tu as bien dormi ?
Qui êtes vous ?
Mon nom n’a pas beaucoup d’importance, je ne suis qu’un pion dans le grand échéquier de la science. Mais je pense que tu peux m’appeler créateur.
*Voila la meilleur*ce dit il en regardant l’homme en blouse blanche. A cet instant rien ne lui aurait fait plus plaisir que d’écraser la tête de ce savant fou ainsi que tout les autres malades qui lui avait fait il ne sait quoi.J’avoue poursuivit le scientifique que quand on t’as présenter à moi tu tenait plus du cadavre que de l’être humain. Une chance que tu ais survécue à l’opération, tout les autres étaient mort lors de son exécution mais pas toi. C’est vraiment très impressionnant.
CA SUFFIT MAINTENANT ! VOUS ALLEZ ME LIBEREZ TOUT DE SUITE ET ME DIRE CE QUE JE FOUT ICI !
Tout en disant cela le cobaye ce mit à tirer sur ses chaînes, et à son grand étonnement celles-ci commencèrent à céder. Petit à petit le métal s’étirait avant de ce mettre à craquer.
Enfin libre il ce jeta sur l’homme, mais fut arrêter en plein élan. Son corps tout entier ce mis à ce tordre et lui-même ce sentis partir. Juste avant de s’évanouir de nouveau il put voir un garde, arme pointée sur lui.
*Balle électrisante*


Lorsqu’il ce réveilla ce fut dans une pièce sombre apparemment sans autre lumière qu’une minuscule lampe suspendue au plafond.
Reprenant ses esprit et tachant de garder son calme, il ce mis la tête dans les mains et réfléchis. Pourquoi tout ça ? Pourquoi lui ? Comment avait il survécu à l’explosion ? Pourquoi ses hommes en avaient après lui ? Et surtout, que lui avaient ils fait qui lui permettre de briser des chaînes aussi facilement ?
Ne te pose pas trop de questions gars. Si tu continu tu ne peut y gagner que des migraines.
Instinctivement Morgoth ce releva, prêt à faire face à une nouvelle menace. Mais à la place d’un scientifique tout ce qu’il vit fut un homme avec des cheveux blanc très long et une corpulence laissant penser que c’était loin d’être un des savants



Ne t’inquiète pas. Je ne te veux aucun mal. Si c’était le cas tu serais mort depuis longtemps.
Malgré cela la tension restait palpable et en ce moment il n’était certainement pas prêt à faire confiance
Qui est tu ?
Mon nom est Sparda, mais les gars d’ici m’appellent N°7
Pendant un moment Morgoth resta à le fixer, puis décida d’en apprendre un peu plus.
Qu’est-ce que c’est que cet endroit ?
Je croyais t’avoir de pas de poser trop de questions. Les questions comme les réponses n’ont aucune importance ici.
Elles en ont pour moi !
L’homme au cheveux blanc soupira, avant de ce lever. Fixant Morgoth il sembla comprendre qu’il n’aurait pas la paix avant d’avoir répondu à ses questions.
Très bien…qu’est-ce que tu veux savoir ?
On est où ici ?
Ca, je suis bien incapable de te le dire. Pas très loin de l’enfer en tout cas si ce qu’on en raconte est vrai.
…Alors dans ce cas qu’est-ce qu’on fout ici ?
Tu devrais le voir par toi-même
Tout en disant cela Sparda désigna une vitre au fond de la salle.
*Bien sur, une vitre teinter*
S’approchant avec anxiété Morgoth ne put réprimer un cri de surprise lorsqu’il vit son reflet.
Ses cheveux avaient poussées au delà des épaules, son visage était pâle comme celui d’un mort. Mais le pire était ses yeux : ils étaient devenus rouges sang



Reculant il se cogna contre le dénommé Sparda, ce tourna vers lui pour l’interroger du regard, et s’écroulant une fois que celui-ci lui confirma d’un hochement de tête.
Mon dieu. Mais qu’est-ce qu’il mon fait ?
Ce qu’ils nous on fait à tous.
Devant le regard interrogateur de Morgoth, il alla vers la vitre, semblant chercher ses mots afin d’expliquer au mieux ce qui ce passait. Contemplant son image il prit une grande inspiration et ce retourna.
Tu es ici dans un centre de recherche indépendant dont aucun gouvernement officiel n’est au courant de son existence. Comme d’autres tu as subit des expériences dans le but de récréer un des être génétiquement parfait.
Comme tout le monde il avait entendu parler des 3 êtres génétiquement parfait : le maréchal Ulys, le commandant Nelfou, et l’empereur Max’. D’après la légende ils étaient capables de terrasser une armée entière à eux seul.
Mais pourquoi moi ? Pourquoi est-ce qu…
Et d’un coup tout devient clair. Il n’avait pas été sauver par hasard, si c’était sur lui qu’ils avaient fait des expériences ce n’était pas de façon aléatoire, mais parce qu’il avait survécu. Parce que malgré la bombe qui avait fait sauter tout le bâtiment, il avait survécu.
Ce tournant vers son compagnon de cellule, celui-ci confirma ses pensées.
Tous ceux qui sont ici ont survécus à quelque chose dont on ne survit pas. Tu as sans doute entendu parlé du crash d’un avion civil au beau milieu de l’Atlantique…
*Apparemment il y a eu un survivant…*
Ce relevant Morgoth ce mis à faire les cents pas, tentant tant bien que mal d’accepter toutes ces informations. Un laboratoire secret, des personnes qui ont survécus à des catastrophes, des tentatives pour recréer les maréchaux parfaits. Ca faisait trop de choses à accepter d’un coup.
Mais enfin, tu n’as jamais cherché à t’enfuir? Il doit bien exister un moyen pour ce tirer d’ici !
Abordant un sourire sans joie, Sparda arracha un morceau de sa tunique. A l’endroit où son bras été découvert apparu une croix rouge, comme marquée au fer rouge.



Cette marque, nous la portons tous ici. Elle est à jamais marquée dans notre patrimoine génétique. Elle ne nous quittera jamais, comme un symbole de notre esclavage.
Relevant à son tour sa manche Morgoth constata qu’il ne portait pas cette marque. Son espoir fut réduit à néant lorsque d’un hochement de tête son co-détenu lui fit signe de ce regarder dans la glace. Approchant une fois de plus de son reflet il ne vit pourtant rien.
*Il a dut rêver. Elle n’est nul par sur moi.*
Enlève ta tunique et regarde ton dos.
S’exécutant avec la crainte de ce qu’il allait découvrir il ne put que constater qu’il s’était bercer de faux espoir : Une immense croix rouge était inscrite sur son dos.
S’écroulant de désespoir une fois de plus il entendit à peine la porte de la cellule s’ouvrir et 10 hommes rentrer
N° 7, N°13, en salle de test.

Durant tout le trajet, Morgoth ne cessa de ce demander si il pouvait tenter quelque chose. Après tout il avait réussit à ce libérer de ses chaînes alors ce débarrasser de quelques gars. Mais à chaque fois qu’il croisait le regard de ces hommes cette idée s’évanouissait. Les gardes étaient armés et s’emblaient s’attendre a une action de ce genre. Traversant ainsi les longs couloirs de pierres le groupe fit halte devant une porte en fer, à travers laquelle les 2 détenus furent poussés sans ménagement.
Contrairement à l’autre pièce, celle-ci était très bien éclairée. La regardant il put constaté de nombreuses traces de sang et de coupures sur les parois. Apparemment cette salle servait de salle de combat. Ses rêveries furent stoppées par une voix sortant des murs.
Bienvenu dans la salle de test numéro 13. J’espère que tu vas te montrer digne des espoirs que nous plaçons en toi. Au moins essaye de tenir plus longtemps que les autres.
*Les autres ?*
Ayant a peine eu le temps de comprendre la phrase 2 trappes s’ouvrirent dans le plafond. De l’une d’entre elles tomba un immense sabre de la taille d’un homme, et de l’autre tomba un paquet noir. S’approchant du paquet puisqu’il était tombé juste à côté de lui, Morgoth découvrir une immense cape rouge avec une cartouchière de fer. Mais en plus ce tenait au fond un gant de fer ce terminant par des griffes
Alors qu’il ce tourna pour questionner son compagnons celui-ci ramassa le sabre comme si c’était tout naturel et ce mis en garde.
Mais qu’est-ce que tu fait ?
Je te fais passer le test.
A ce moment Morgoth compris d’où venait le sang sur les murs, et pourquoi il n’avait vu aucun autre détenu : ils avaient échouer lors d’un combat à mort contre Sparda. Et si il en croyait son numéro son compagnon de cellule avait déjà tué 11 personnes.
Aller, dépêche toi d’enfiler ton équipement qu’on puisse commencer.
Désormais sa voix était grave et ses yeux vides de toute compassion. Acceptant la situation Morgoth mis la cartouchière autour de sa taille, enfila la cape, mis le gant à la main gauche puis ce mis en garde en tachant de conserver son calme.



Aussitôt Sparda passa à l’attaque : Approchant avec une rapidité peu commune il leva son sabre comme si il était aussi léger qu’un plume et l’abattit sur Morgoth…il fit un pas sur le côté. Ce précipitant à son tour sur son ennemis, il ce jeta sur son adversaire qui eu le temps d’esquiver l’attaque de reculer à une distance suffisante. Pendant un moment les deux hommes s’observèrent, puis le combat reprit : le sabre fendit l’air en direction de sa cible qui esquiva une fois de plus d’un pas sur la droite, mais ce coups si le sabre ce précipita aussitôt vers la droite à toute vitesse en direction de la tête. Instinctivement Morgoth leva son gant entre lui et le sabre…qui s’arrêta net. Les deux guerriers cessèrent le combat, ébahis par cette force. Reprenant le premiers ses esprit Morgoth repoussa le sabre d’un revers de la main avant de ce remettre à distance raisonnable de son adversaire, qui ce remis en garde. La tension ne cessait d’augmenter mais elle finit par être rompu : Sparda ce remis en mouvement et sauta en l’air. Mettant son sabre derrière lui il plongea vers son ennemis qui recula. Mais c’est précisément ce que adversaire espérait : atterrissant lourdement il abaissa son arme et plongea en avant. Son sabre transperça Morgoth au niveau du ventre et la puissance de l’attaque fut tel qu’il recula jusqu’à ce retrouver clouer sur le mur par le sabre. Le sang commença à s’écoule hors de son corps tandis qu’il perdait peut à peut connaissance. La douleur était devenue insupportable et il su que jamais il ne sortirait vivant de cet endroit. Fixant rageusement son adversaire sa vision commença à diminuer, remplacer par un brouillard. Puis d’un coup le brouillard sembla ce lever laissant place à des images. Morgoth avait entendu dire qu’au moment de la mort votre vie défile devant vos yeux, mais aucune de ces images ne venaient de son passé.
Il ce vit portant sa tunique actuelle au milieu d’un champ de bataille. Il ce vit soldat au milieu d’une compagnie portant des uniformes rouge. Il ce vit découper des ennemis au sabre laser. Il ce vit sortir d’une cuve de clonage devant des médecins agiter. Il ce vit allonger sur un lit au milieu d’une ville hors de la guerre. Il ce vit serrant la main à une multitude de soldats heureux. Il ce vit menant des troupes au milieu d’un champ de mort avec des galons de général. Il ce vit prêter allégeance à un homme portant les insignes impériales. Il ce vit en compagnie d’une femme blonde très belle. Il ce vit seul au fond d’un cratère d’obus. Il ce vit civil dans une ville où régnait la paix.
Et enfin les images disparurent et il fut de nouveau cet homme abandonner de tous, clouer à un mur par un immense sabre. Avait t’il rêver ? Une fois encore il ce demanda ce que les expériences avaient bien put changer en lui. Mais au fond de lui-même il décida de croire à cette lumière. Non, il ne mourrait pas comme ça, pas ici, pas avant d’avoir accompli ce qu’il avait vu ! Alors que sa détermination grandissait la douleur le quitta. Il était toujours conscient de la présence de la lame, mais désormais elle ne lui faisait plus mal. Relevant les bras il agrippa des deux mains le sabre et commença à exercer une pression sur celle-ci. Il sentait le sang couler hors de ses mains, mais la douleur n’était plus là. Pendant un moment la scène sembla être figée, puis le sabre vola en éclat. Incrédule, Sparda recula, ne tenant plus qu’un manche de sabre alors que Morgoth retirait la partie qui c’était enfoncé dans sa chair. Une fois encore les deux hommes s’observèrent mais le rapport de force avait changé et l’issu du combat approchait. Perdant son sang froid il plongea sur son ennemis, tentant de lui balafré le visage avec son gant de griffe. Mais l’attaque fut stoppée net par un coup qui l’envoya voler vers le sol. Ce relevant, il repassa à l’attaque, avec plus de calme cette fois ci. Durant un moment Sparda sembla prendre l’avantage, mais son adversaire apprenait à une vitesse incroyable et commençait à saisir le rythme de ses mouvements. Peu à peu Morgoth pris l’avantage, contrant de mieux en mieux les attaques et parvenant même à prévoir les coups. Au bout d’un moment, il en vint à comprendre la faiblesse d’un des coups favories de son ennemi : frappe au ventre puis coup au visage. Laissant le coup au ventre venir il bloqua le coup venant de l’autre côté et plongea son gant dans la poitrine de son adversaire. Celui-ci s’effondra à ses pieds, et pendant un moment il n’eu plus que le dominant et le dominer, le vainqueur et le vaincus. S’abaissant au niveau de celui qui avait à plusieurs reprises faillit le tuer, il leva sa main gauche, prêt à donner le coup de grâce. Mais l’image de son ennemi disparue pour laisser place à d’autres images. Il ce vit avec Sparda arpentant les champs de bataille en riant, braver la mort et la subir avec lui, massacrer dans une harmonie parfaite des soldats bleu et blanc, et enfin il ce revis dans cette ville de paix, courrant pour saluer son compagnon. Puis l’image revient et il ce retrouva de nouveau le vainqueur d’un combat, libre de choisir entre la vie ou la mort de son adversaire. Ce relevant, il tourna la tête vers la porte et ce mis à hurler.
Grouillez vous. Il a besoin de soins.
Durant plusieurs secondes il pensa que jamais il n’obtiendrait de réponse, mais finalement une vois sortie de derrière la porte.
C’est un combat à mort numéro 13. Achevez le.
C’est hors de question. Objecta Morgoth. Si vous voulez le laisser mourir alors je nous tuerais tout les deux et vous n’aurez plus de cobaye a étudier.
Sa remarque semblait toucher un point sensible puisqu’il pouvait entendre des murmures virulents de l’autre côté. Enfin, après plusieurs minutes d’attentent la porte s’ouvrit, laissant rentrer une dizaine de soldat et plusieurs médecins.
Nous allons le soigner. Regagnez votre cellule.

On pense toujours être capable de savoir depuis combien de temps on est à un endroit, depuis combien de temps une action c’est passée, depuis combien de temps vous n’avez plus vu la lumière du jour. Mais cette impression n’est qu’illusoire, car couper du reste du monde le temps devient un simple mots.
Depuis combien de temps de temps était il enfermer là ? Un mois ? Un an ? Dix ? Il n’aurait pas pur le dire.
Après la lutte entre lui et Sparda, beaucoup de choses avaient changer : ils s’étaient rapprocher au point de devenir amis, choses qui était vitale dans un endroit où les seules visages humains que vous voyez sont les scientifiques sadiques. Après une brève période il avait de nouveau subit des expériences dont la nature lui échappait, mais à son plus grand bonheur les expériences ne portaient pas leurs fruits puisqu’il n’avait eu aucun changement majeur sur son corps. Parfois les deux amis devaient ce battre, mais la règle du combat a mort avait été abolie et cela ce rapprochait plus de l’entraînement que tu combat. A dire vrai ils étaient devenu un binôme parfait, enchaînant les coups avec une synchronisation parfaite, chacun devinant ce que pensais l’autre et réagissant en conséquence. A part son binôme et les savants, les seuls visages qu’il voyait était ceux des trois êtres parfait, qui étaient souvent affichés dans les salles où il subissait leurs expériences.



Mais à dire vrai…même cela était faux. En effet, il lui arrivait de ce remémorer la vision qu’il avait eu lors de son affrontement. Sparda avait été incapable d’expliquer cela, mais Morgoth restait persuadé qu’il avait vu un avant goût de sa vie future. Et son rapprochement avec son compagnon, ainsi que leur synchronisation le laissait penser qu’il avait raison. Il n’imaginait pas le futur autrement que comme il l’avait vu.
Mais pour le moment il restait prisonnier sans espoir d’évasion et le futur paisible auquel il avait goûter l’espace d’un instant semblait bien loin de ce réaliser. Des nuits (ou ce qu’ils pensaient être la nuit) lui et Sparda avaient chercher un moyen de s’échapper de cet endroit, mais leurs déplacement étaient toujours sous haute protection et même si ils parvenaient à maîtriser les gardes le reste du bâtiment leur était inconnu. Les jours passaient lentement, toujours répétitif, sans nouvel espoir de liberté. Puis, a partir d’un moment les scientifiques ce firent nerveux, tendus. Morgoth pouvait même entendre des bout de conversations tel que :
Ils ne sont plus très loin…totalement réduit en cendre mon vieux…une boucherie selon nous informations…
Bien qu’il ne comprenait pas le sens réel de ces paroles tout ce qui pouvait déranger ces gars lui faisait le plus grand plaisir. Pourtant il était loin d’imaginer la réalité de la chose.

Même si vous ne savez quand son le jour et la nuit, ce reposer est nécessaire à tous. Ce fut donc une de ses nuits que Morgoth, pensant une fois de plus à ses visions, entendit un bruit qu’il n’avait plus entendu depuis qu’il était là : celui d’un avion. Mais comment pouvait t’il entendre un avion d’ici. Soudain le sol trembla, les murs ce fissurèrent, et on put entendre des cris venir de l’extérieur.
Qu’est-ce qui ce passe ? demanda Sparda qui s’était éveiller en un quart de seconde
Je ne suis pas sur, mais on dirait qu’on vient d’être bombardé.
Bombardé ? Mais alors ça veut dire que…
Il n’eut pas le temps de finir sa phrase que la porte s’ouvrit, laissant place à cinq gardes.
Dépêchez vous de nous suivre ! On n’a pas de temps à perdre.
Les deux amis ce levèrent, mais eurent le temps d’échanger un signe prévu par eux depuis longtemps.
Alors qu’ils allaient franchir la porte Morgoth saisi deux gardes au cou et les propulsa vers le mur. Au même instant, Sparda envoya la tête d’un troisième sur la porte avant de ce saisir de son arme. Surpris, les deux gardes restant levèrent leurs armes mais il était déjà trop tard : Sparda fit feu sur le premier alors que son ami saisissait le deuxième et le plaqua contre le mur, le soulevant.
Qu’est-ce qui ce passe en surface ?
Un…bombardier impérial nous a…attaquer
Impossible, jamais un appareil n’aurait put aller aussi loin
C’est la guerre…au dessus. L’Empire et la FL ont envahis l’Europe.
Assommant le garde, Morgoth mis plusieurs secondes à accepter cette information : la guerre était finalement arrivée jusqu’ici. Dehors des milliers de combattant s’entretuaient pour la domination sur le continent. Seul la voix de Sparda le ramena à la réalité.
Grouille toi. Il faut qu’on sorte d’ici
Acquiescant, les deux hommes commencèrent à courir le long des couloirs.
Après plusieurs minutes au cour desquelles ils n’avaient rencontrer personne ils firent halte devant une salle que Sparda reconnu.
C’est la qu’ils rangent nos arme. Ca pourrait nous être utile.
Enfonçant la porte, ils prirent ce dont ils avaient besoins : le sabre de Sparda, le gant de griffe et le triple flingue de Morgoth.
Durant un temps qui paru interminable ils arpentèrent les couloirs, sans trouver la moindre sortie. Puis au détour d’une porte, ils virent enfin un escalier duquel sortait la lumière du jour. Mais sur ce même escalier ce tenait celui qui c’était nommer « créateur ». Le voyant, le sang de celui qui avait été nommer « Numéro 13 » ne fit qu’un tour. Dégainant son arme il fit feu.



Trois trous rouges apparurent sur le dos du scientifique qui ce retourna, puis s’écroula.
Accourant vers lui, il le saisi avant de hurler comme un fou :
QUE M’AVEZ-VOUS FAIT ? QU’EST-CE QUE VOUS AVEZ FAIT DE MOI ?
Ouvrant la bouche pleine de sang, le savant eu un rictus, puis s’approcha pour lui murmurer :Un démon
Puis il pencha la tête, mort, laissant Morgoth hurler une demande d’explication sur son corps. Pendant un moment lui-même pensa qu’il resterait toujours là a crier sur ce corps sans vie, jusqu’à ce qu’un mains vienne sur son épaule.
On doit y aller. Ca ne sert plus à rien de rester ici.
Lentement, il ce leva puis partis avec son ami vers la lumière, vers la liberté.

Après être rester un long moment hors du monde, Morgoth ne savait pas trop à quoi s’attendre. Il avait bien imaginer ce retrouver au milieu de décombres avec un ciel traverser par des transport de troupes. Mais ce qu’il voyait était au-delà de tout ce qu’il aurait put imaginer : Une fois sortis de ce qui était une trappe d’urgence, ils ce retrouvaient au milieu d’un territoire dévaster. La terre était brûler, des trou d’obus et de bombes semblaient avoir été déposer là comme pour un immense terrain de golf, des cadavres joncher le sol par centaines, des carcasses d’avion étaient répandue un peu partout, et d’où qu’il regardait le ciel il pouvait voir un transport de troupe ou de matériel le traverser. Il resta là, contemplant cette vision apocalyptique, puis repris ses esprits et ce mit à courir loin d’ici. Seuls et sans provisions il ne ce faisait aucun doute sur leurs chances de survit, mais ils devaient tenter le tout pour le tout.
Combien de temps avancèrent t’ils ? Lui-même ne le savait pas, mais lorsque la nuit tomba ils approchèrent enfin de ce qui ressemblait à un village.
Jetant un rapide coup d’œil au panneau, il put enfin avoir une idée un peu plus précise de l’endroit où ils étaient. Du panneau partaient deux flèches en direction opposées. Sur l’une d’elle était inscrit « Lyon : 228 km » et sur l’autre « Turin : 12 km ». Ainsi, ils étaient proches de la frontière. Peut-être devraient ils y aller afin d’obtenir de l’aide. Mais pour les moments il leur fallait du repos. Trouvant une maison moins en ruine que les autres, ils purent même trouver des vieilles réserve de nourriture. Après un maigre repas, les deux amis firent un feu pour ce réchauffer.Alors comme ça la guerre a atteint le continent Commenta Sparda
Il semblerait en effet. Je n’aurais jamais cru ça possible.
Pendant un moment, il resta plongé dans ses réflexions. Une fois de plus sa vision le perturbait, et particulièrement le passage où il ce voyait en uniforme rouge.
Tu penses que l’Empire la dictature comme on le prétend ? Finit t’il par lâcher
Surpris par la question, son compagnon ce leva, jeta un regard pensif vers l’extérieur, puis ce retourna.
On nous a toujours appris qu’ils étaient des fanatiques voulant dominer le monde. J’ai déjà croisé des impériaux, et je peux te dire qu’ils sont tout a fait conscient de leur situation. Ce ne sont pas des fanatiques, justes des gars qui ce sont rassembler sous un idéal commun. Celui d’unir le monde en une seule nation forte et juste.
Après, Morgoth resta longtemps à méditer sur ces paroles.

Le lendemain, le réveil fut pour le moins rude. Des bruis de chute, puis des explosions. Ce levant en quelques secondes, les deux amis purent voir au loin des soldats en blanc courir, sous un déluge de bombes lâcher par un avion peint en bleu. L’avion fit un piquet, lâcha une dernière bombe, puis s’envola au loin.
N’ayant même pas besoin de s’interroger du regard, ils allèrent aussitôt vers le lieu du bombardement. Une fois sur place, ils ne purent que constater les dégâts : des impacts dans lesquelles jonchaient de nombreux corps. Puis plusieurs silhouettes ce levèrent parmis les hommes. Les dévisageant rapidement, ils levèrent leurs armes.
Qui êtes vous ? Et toi, pourquoi porte tu un uniforme rouge ?
Nous ne sommes pas des impériaux, nous sommes…
NE ME MENT PAS ! Nous devons exterminer tous ces salauds de fanatiques !
Ne leur laissant pas le temps ils pointèrent leurs armes sur eux. Un bruit de tir ce fit entendre, et deux corps sans vie s’écroulèrent, deux corps…portant des uniformes blanc. Tout de suite, tout le monde ce retourna pour voir deux hommes avec des armures rouges et des armes encore fumantes. Ne ce faisant pas prier, Morgoth dégaina et fit feu sur deux autres soldats, alors que Sparda sortie sont arme avant de trancher net une tête. Les armes crachèrent de nouveau un déluge de balles, mais les armures impériales tirent bon alors que les deux amis esquivaient les balles. Quelques secondes plus tard plus aucun soldat allié n’était vivant dans la zone. Pendant un moment la tension ce réinstalla, puis le premier des deux soldats pris la parole.
Et bien, merci du coup de main.
Je crois qu’on vous doit aussi la vie réagissa Morgoth
Bon…désoler, mais on doit y aller commença l’autre soldat
Attendez ! Je veux venir avec vous
Avec nous ? Tu veux t’engager dans les rangs impériaux ?
Nous. Nous voulons nous engager dans l’Empire rectifia Sparda
Pendant un moment les deux hommes semblèrent réfléchir, puis le premier déclara
Parfait, suivez nous dans ce cas. Au fait, je m’appelle pyl, et voila Cactus. Et vous ?
Je m’appelle Sparda
Je m’appelle…
Il leva les yeux vers les deux soldats. Quoi qu’il arriverait maintenant, il savait que si sa vision devait ce réaliser, elle ce réaliserait parmis eux.
Je m’appelle Morgoth